Nom du blog :
terredegaucheambazac
Description du blog :
Faire de la politique autrement
Catégorie :
Blog Politique
Date de création :
09.03.2011
Dernière mise à jour :
26.01.2015
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Derniers commentairesyou have an incredibly nice layout for your blog, i want it to utilize on my site also . kdgkdbaegfdaeg fe
Par Smithd31, le 22.10.2014
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Par Smithb442, le 22.10.2014
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Par demarty, le 03.08.2014
oui, cet article est très déplacé!!htt p://terredegau cheambazac.cen terblog.net
Par terredegaucheambaz, le 06.07.2014
je viens de tomber sur ce commentaire, comment dire, bête, haineux, qui grandit, soyons-en sûrs, son auteur. m
Par Anonyme, le 15.04.2014
La liste "ouverte, plurielle, unitaire, sur laquelle y trouve, outre des candidat-es issu-es des formations du Front de Gauche, des écologistes de gauche, en dissidence d’EELV, des syndicalistes d’horizons divers, des militants associatifs… Qui associe des militants de longue date, mais aussi des citoyens dont c’est le premier engagement dans une campagne dynamique et chaleureuse", c'est "Limoges Terre de Gauche"...
Meeting, ce soir, 20H, Amphi Blanqui (derrière la mairie).
Et voilà, les choses sont bien en place et dans le concert (hors jazz) des petites phrases, le PS ambazacois, « cornaqué » par les hautes personnalités de la grande Ville, a porté un premier mauvais coup à la Conseillère Générale du Canton, en déplorant « que la représentante du Canton n’ait pas voté…/… ».
Ce n’est pas gentil de la part des socialisses (pas de faute de frappe), et Madame LIBERT qui sait ce que démocratie veut dire, a été élue au Conseil Général par des hommes et des femmes dont elle respecte les choix, elle.
Le premier souci de cette pseudo-gauche c’est que le budget soit voté.
Pour le reste, cause toujours!
Qu’importent les avis, remarques, débats. Par contre, si vous votez le budget présenté, vous entrez dans un monde parallèle surréaliste, où vous arracherez un sourire, un rictus de satisfaction, une grimace jubilatoire à des bénis oui-oui béats sans avis, sauf celui du groupe, ou assujettis à la majorité comme l’ADS (A Disposition des Socialistes).
A quoi sert d’avoir des convictions, du respect pour ses électeurs, pour soi-même, pour les autres gens, s’il faut se fondre dans un moule majoritaire imbu de ses projets « novateurs » iniques, surconsommateurs de nos fonds communs, dont on nous dit la bouche en cœur qu’il faut les gérer avec finesse, les dépenser avec parcimonie.
Alors, Josette LIBERT a été élue par tous ceux qui ont voulu dire STOP au clientélisme, au copinage, à l’antagonisme coupable entre les discours et la réalité, à ceux qui veulent une LGV que nous ne voulons pas, des méthodes claniques que nous ne voulons pas, une arrogance que nous ne supportons plus. Les mêmes l’éliront à nouveau, avec beaucoup d’autres.
Alors au fait, Madame LIBERT aurait donc par son vote de non allégeance, mis en péril des projets ou des subventions au niveau local ?
Lesquels, combien ? Ils seraient donc si peu reconnaissants les mentors urbains ultra-majoritaires envers leurs amis ruraux, pour qu’une voix isolée, perdue dans un alléluia socialiste quasi jouissif, puissent nuire à des projets essentiels à la vie des ambazacois ? C’est une blague ou bien ?
Attention, vos amis vous snobent ou alors vous ne maîtrisez plus ce qu’ils vous disent d’écrire. On vous ment peut-être !
Nous avons compris nous, que la liberté appartient à ceux qui la revendiquent.
Nous n’avons donc pas de soutiens éminents issus des hautes sphères intellectuelles du microcosme de Limoges, mais une manière d’être dont nous sommes fiers.
Puissent les électeurs nous entendre et être toujours libres comme nous !
Terreaudegaucheambazac
LIMOGES(salle Blanqui 3)
5 avril de 14h à 17h
« L236-9 » Coulisses de l'entreprise
de et parSelma REGGUI
Une prise de parole pour dire le pouvoir sournois des mots, la toute-puissance des chiffres, les rapports de force, les droits acquis, ceux menacés. Pour dire les pièges de l'open space, de l'autonomie, de la polyvalence, du stress, des risques prétendument psychosociaux. Pour dire le travail, ses transformations, dire le métier, son démantèlement. Pour dire la condition ouvrière, salariale, humaine. Dire les contradictions, les solitudes, les souffrances tues. Mais aussi les résistances, les rugissements, les victoires, quand le travail arrache du sens, et que le collectif dit non. Dire l'urgence, la lutte, et l'espoir.
IMPORTANT !SUITE DE LA CONFÉRENCE PAUSE CAFE PUIS ATELIER « DROIT DU TRAVAIL et RESISTANCES
Durée de l’atelier: 3h (17h30 à 20h30 ) suivi d’une auberge espagnole
L’atelier propose aux participant-es de partager leurs expériences d’utilisation du droit du travail. De partager aussi leurs pratiques quotidiennes, individuelles et collectives, de résistance à ce qui dégrade les conditions et le sens du travail. Il s’agit de s’armer d’idées et de moyens concrets d’action, et d’une certitude qu’il est possible d’augmenter le pouvoir d’agir des travailleurs.
Une conférence gesticulée est un outil d’éducation populaire à mi-chemin entre le spectacle et la conférence, qui mêle de l’autobiographie, de l’analyse, et de la théorie. Mélange de choses vécues, de choses comprises et de choses apprises. On peut définir la conférence gesticulée comme la rencontre de savoirs froids et de savoirs chauds sans que cela ne donne un savoir tiède mais plutôt de l’orage.
Le comité de canton Ambazac Terre de Gauche vous propose cette conférence dans la continuité de son action d’éducation populaire, en participation libre.
Contact tel 06 87 32 42 46 pour réservation et renseignement complémentaire
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Stop TAFTA !
Stop au projet de partenariat transatlantique !
A l’été 2013 ont débuté des négociations secrètes entre la Commission Européenne et les Etats-Unis sur un accord de libre-échange : le TAFTA, pour Transatlantic Free Trade Agreement (aussi appelé PTCI). Ce projet, négocié avec et pour les multinationales, est une menace extrêmement grave pour nos droits sociaux, écologiques et démocratiques, car il donnerait aux grands groupes privés des droits extravagants pour exploiter les peuples et la nature.
Quelles conséquences pour nous,
élus locaux et habitants des territoires ?
OPACITÉ
Nous sommes et demeurerons dans la désinformation la plus totale. Pour l’heure, le mandat de la Commission européenne n’a pu être connu que grâce à une fuite. Il est impossible à l’heure actuelle de connaître les positions tant du côté européen que du côté américain, au fur et à mesure des négociations et selon les sujets.
Sans forte réaction de l'ensemble des citoyens et des élus,
l’opacité des négociations restera la règle
UN VÉRITABLE RAPT DU POUVOIR DES COLLECTIVITÉS LOCALES
Les négociations du PTCI risquent notamment de conduire à l’ouverture des marchés publics en Europe. Ces lobbies s'en prennent à tout programme visant la relocalisation des activités.Les collectivités locales pourraient être définitivement contraintes de lancer des appels d’offre ouverts aux multinationales. Là où les luttes ont permis une re-municipalisation de l'eau, pourront-elles conserver ce statut ?
Des règles strictes (fin des aides publiques) ne leur permettraient plus de favoriser les entreprises, emplois et produits locaux (et donc le développement local), ni d’adopter des normes environnementales ou sociales élevées.
DANS NOS ASSIETTES, DES ALIMENTS NORMÉS ET SANS ETIQUETAGES
Selon une étude réalisée par le Parlement européen , il existe des risques importants d’affaiblissement des procédures d’autorisation des OGM importés en Europe, menaçant d’élargir considérablement la liste des variétés autorisées à l'importation - une cinquantaine actuellement -. Enfin, les lobbys industriels comptent affaiblir l’obligation européenne d’étiqueter tout produit, en particulier les non OGM.
Comment vérifier ce qui arrivera dans l'assiette de nos enfants dans les cantines ? Comment une collectivité pourra-t-elle se fournir ailleurs qu'auprès de la transnationale qui aura remporter le marché ? En verrouillant tout retour en arrière
ET QUID DU GAZ DE SCHISTE ?
Par la remise en cause des protections et des régulations écologiques, la loi Jacob qui interdit la fracturation hydraulique en France, risquerait fort d'être annulée. Ceci dit elle a été constitutionalisée donc sa remise en cause par ce qui est dit dans le présent alinéa n'est pas si évident
De plus, un mécanisme dit "investisseur/Etat" prévu dans le mandat de négociation permettrait aux transnationales de porter plainte contre un Etat ou une collectivité territoriale devant une juridiction composés de 3 juristes de cabinets d'avocats d'affaires, acquis à cette vision du monde et contraints de toute façon par le texte du traité, dès lors qu’une loi ou qu’une réglementation fera entrave au commerce et à l’investissement. Dans d'autres accords de libre échange portant des mécanismes de ce type, des amendes colossales ont fait plier les gouvernements.
Il n'y aura plus aucune mobilisation, aucun recours juridique possible pour empêcher Schuepbach ou un autre de venir forer sur nos territoires pour y chercher du gaz de schiste.
Il s'agit là d'une véritable "police de l'investissement" qui obligerait les Etats à se conformer à leurs règles et pouvoir éliminer tout obstacle à leurs profits présents mais aussi futurs.
LIBERTJosette 59 ans Retraitée de l’enseignement (cc) Adjointe sortante,
ROYEREJean-Luc 60 ans Ouvrier d’Etat (cc)
VERGNOUXMarina 43 ans Gestionnaire portefeuille de retraites (cc) Conseillère sortante
SOIRATMichel 58 ans Retraité de la santé (cc)
FERRANDFabienne 43 ans Secrétaire comptable (cc)
CHEStéphane 42 ans Technicien forestier (cc) Conseiller sortant
SARDAINECatherine 53 ans Adjoint administratif de la santé (cc)
SERPIERJean-Marc 62 ans Retraité de l’enseignement
ROUSSYLaurence 43 ans Conseillère en insertion professionnelle
AUZEMERYLaurent 46 ans Guichetier à la Poste (cc)
GOUTORBEJacqueline 54 ans Aide maternelle (cc) Conseillère sortante
ROUXThierry 39 ans Conducteur de train (cc)
CARATORISimone 57 ans Aide maternell
CHADELAUDGérard 62 ans Retraité du bâtimen
CHAPDELAINEPauline 28 ans Sage-femme
JANDAUDMichel 62 ans Retraité SNCF
THOMASPascale 52 ans Professeur certifié (cc)
HAMEILLONOlivier 30 ans Salarié organisation agricole professionnelle
ROUHAUTNoémie 21 ans Conseillère en économie sociale familial
PIERRECédric 29 ans Employé de commerce
BARIATPeggy 36 ans Professeur des écoles
RICHARDFrédéric 40 ans Enseignant chercheur
SALLIETIsabelle 41 ans Opératrice PAO
GREGORIOJosé 44 ans Cuisinier
BOURBONMartine 61 ans Retraitée
DUBOISHervé 48 ans Adjoint administratif de la santé
MANCOISCatherine 59 ans Technicienne chimiste
PIASERDaniel 52 ans Imprimeur offset
BONNEAUSandrine 38 ans Ouvrière
(cc) :conseiller communautaire
Les habitants d’Ambazac ont fait le choix d’y vivre pour la qualité de son environnement, son identité et son atmosphère encore rurales.
Plutôt que de dilapider ces avantages et atouts, donnons-nous les moyens de les préserver, et plus encore, de les développer et les valoriser.
Martine STORTI Ne pas oublier la liberté
Chaque génération de féministes en fait hélas l’apprentissage. De la bêtise, de la manipulation, et pour une part plus réduite, de la saloperie. Le débat qui se joue depuis quelques semaines sur la scène médiatico-politique française en est la démonstration. Une fois de plus en effet il faut entendre ce que Simone de Beauvoir a entendu lors de la publication de son livre Le deuxième sexe dans les années 50, ce que d’autres avant elle avaient entendu, au long des décennies antérieures, ce que comme les autres filles du MLF, j’ai entendu dans les années 70 et que l’on entend encore, au grand étonnement des jeunes et dynamiques féministes d’aujourd’hui : qu’il faut s’en tenir à la nature, qu’oser affirmer qu’il y a une part culturelle et donc construite dans ce qui s’appelle le masculin et le féminin annule la différence des sexes, que l’égalité entre les hommes et les femmes fait perdre à ces dernières leur féminité… Autant de répétitions, décennie après décennie, siècle après siècle !
Il fut un temps où c’était l’absence de corset ou le port du pantalon qui ôtaient aux femmes leur féminité, un autre l’idée saugrenue qu’elles s’étaient mises en tête, devenir par exemple ingénieure, pilote d’avion, polytechnicienne ou chirurgienne…Mais ce qu’elles étaient depuis fort longtemps, parce qu’il y a fort longtemps que les femmes travaillent, par exemple femmes de ménage, paysannes courbées sur les champs, ouvrières à la mine ou à l’usine, toutes ces activités, bien sûr, ne nuisaient pas à leur féminité, et n’annulaient pas la différence des sexes !
Quand même souligner qu’il était difficile de penser en 2014 qu’un projet bienvenu comme les ABCD de l’égalité, et somme toute assez banal quant au fond, allait susciter une telle litanie d’énormités. Projet banal en effet que de montrer non pas qu’il n’y a pas de nature dans le féminin et le masculin, mais de montrer que la nature n’est pas seule en cause, qu’il y a aussi une part importante de social, de culturel, que cette part, construite, varie donc selon les époques et les sociétés, qu’elle n’est pas immuable, qu’il y a donc et c’est heureux plusieurs manières d’être petite fille et petit garçon, femme et homme. Ou pour le dire autrement et encore plus banalement qu’une petite fille qui a envie de courir, jouer au football, grimper aux arbres et s’amuser avec des autos miniatures n’est pas forcément un garçon manqué et qu’un petit garçon qui a envie de jouer à la poupée ou à la dinette n’est pas forcément une « femmelette ». Ces ABCD ajoutent que la différence des sexes ne justifie pas la hiérarchie des sexes et que certains a priori sur la féminité et la masculinité - a priori qu’on peut aussi appeler préjugés, stéréotypes - peuvent produire des blessures, des souffrances, des discriminations.
Les dénonciateurs de ces ABCD et qui veulent leur suppression, affirment qu’ils ne sont pas contre l’égalité entre les filles et les garçons. Pas contre l’égalité, il se peut. Mais contre la liberté, sûrement.
Reprécisons : la question des femmes ne renvoie pas seulement à l’égalité avec les hommes, qui, depuis plusieurs années, semble être devenu le discours incontournable des droits des femmes, voire d’une bonne partie du mouvement féministe. Egales bien sûr, les femmes doivent l’être. Mais l’égalité ne suffit pas. L’égalité ne vaut pas émancipation. A l’égalité il faut ajouter la liberté. Et c’est précisément parce qu’il y a deux sexes, et c’est précisément parce qu’il y a de la différence, et parce que oui une part de cette différence est irréductible -et dire cela n’est pas naturaliser, ni même essentialiser le féminin-, que la liberté est nécessaire, indispensable.
Par quoi les féministes des années 70 ont-elles commencé ? Par la maitrise du corps. Par la liberté du corps. Contraception, droit d’avorter, lutte contre le viol, parce qu’il y va de la liberté des femmes, liberté insupportable à certains. Je devrais dire à beaucoup.
Or il est intéressant de constater que ces mots, liberté, libération, émancipation ont quasiment disparu, lorsqu’il est question des femmes, en particulier dans les instances gouvernementales, ou dans les organisations européennes, internationales, multilatérales. Il est dit et écrit « égalité entre les femmes et les hommes », mais pas « liberté des femmes ». « Liberté, ça choque trop » m’expliquait il y a peu un diplomate français. J’ajoute que le mot « genre », ce mot qui excite tant certain-es en France, est jugé aussi dans nombre de pays et dans la plupart des réunions internationales comme plus acceptable, plus modéré en quelque sorte que d’autres mots, considérés presque comme des gros mots, tels libération des femmes ou féminisme. Et d’une certaine manière, ce n’est pas faux. Car le « genre » ne suffit pas à rendre compte de la domination, de la marchandisation des femmes, de leur contrôle.
Mais ces stratégies de dissimulation n’évitent rien, Les religions d’ailleurs ne s’y sont pas trompé, ne s’y trompent toujours pas et font alliance. Hostiles à cette maîtrise par les femmes de leur corps, à cette liberté des femmes ainsi qu'on le voit aujourd’hui, qu’il s’agisse, pour ne prendre que ces deux exemples, de l’avortement ou du voile.
Pour en revenir à ces ABCD expérimentés dans quelques écoles françaises, ils auraient dû s’appeler « ABCD de l’égalité et la liberté ». De les avoir mal nommés n’a pas empêché les cris d’orfraie. Pour la suite, il faudra oser mettre la carte sur la table, c’est-à-dire la carte de l’émancipation réelle qu’il faut concevoir comme Pierre Mendès France concevait la République, « éternellement révolutionnaire à l’encontre des inégalités, de l’oppression et de la misère, de la routine, des préjugés et éternellement inachevée tant qu’il reste des progrès à accomplir ».
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